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Queen of the seas ~ Amaryllis

12.05.20 2:16
Queen of the seas ~ Amaryllis


Amaryllis ZANE
❝ Oh my dear, do you hear the Ocean’s call ? ❞
Surnoms
Ama, Capitaine Zane, Cap’tain, Boss

Âge
32 ans

Origine & Race
Dolcyan - humaine

Signe de la Destinée
La Tornade

Résidence
Dolcyan

Don & magie
Raisonnance de séduction

Ancre
Son cache-œil

Profession
Maître navigatrice

Caractère & traits principaux

« Euh, notre cap’tain ? Ah c’est un sacré bout de femme, ça oui. Quand elle sillonne les mers, on dirait un Custo. Même dans la pire des tempêtes, on est sûrs qu’elle saura tenir la barre et nous ramener à bon port ! Ca s’voit que l’océan et elle sont en harmonie. Elle a une soif intarissable de découvertes, et elle a sans doute plus de volonté que nous tous réunis. J’suis fier d’être sous son commandement. »


[…]



« Hmm … Ca ne fait pas très longtemps que je suis sous les ordres du capitaine. Je ne sais pas si c’est juste moi, mais elle me fait un peu peur, parfois. Surtout quand elle me regarde avec cet espèce de sourire bizarre … Souvent, ça s’accompagne de tâches ridicules qu’elle me demande de faire, ou alors des corvées complètement stupides. Les autres m’ont dit que c’est un rite de passage, mais je ne sais pas ... »


[…]



« En tant que seconde du capitaine Zane, je peux vous assurer que c’est un plaisir chaque jour renouvelé que de naviguer sous sa barre. Tous nos voyages sont des défis, et sa férocité nous fait repousser systématiquement nos limites. Elle dégage une autorité naturelle qui fait régner la discipline sur son navire, ce qui je dois bien l’avouer, me déleste un peu en charge de travail. Cela dit, il lui arrive d’être un peu trop obstinée et … comment dire … vorace ? Elle a une certaine fierté, voyez-vous, et a du mal à supporter quand quelque chose lui résiste trop. Et elle se laisse souvent entraîner dans les flots turbulents que peuvent apporter ces situations, à mon plus grand désarroi. »


[…]



« Moi ? J’suis le quartier-maître. J’parie que les autres ont moussé le cap’tain, hein ? Bah, c’est pas faux tout ce qui se dit sur elle. Mais j’suis sûr que vous voulez du croustillant, hein ? Evidemment. J’ai des infos sympas à partager, vu que c’est le plus souvent du temps notre seconde et moi qui l’accompagnons sur terre. Normalement ça s’rait juste moi, mais eh, on se r’fait pas. La seconde, c’est un peu notre garde-fou, m’voyez ? Parce que le cap’tain et moi, qu’est-ce qu’on adore les paris et s’bourrer la gueule jusqu’à pas d’heure ! J’compte plus le nombre de fois où on a fini pratiquement à poil derrière des tonneaux avec plus une thune en poche. Enfin ça c’est les soirs les moins reluisants. Faut savoir que dame Zane est une sacrée sournoise, avec sa magie, là. Bon, c’est un peu tricher, j’suis d’accord, mais c’est tout un art quand on joue aux cartes ! Oh, et aussi, on dirait pas comme ça mais c’est une sacrée séductrice la bougresse. Elle en joue beaucoup pour charmer ces dames … Une vraie tornade, j’vous dis. Bon, par contre, tout ça reste entre nous, hein ? J’ai pas envie de m’faire botter l’cul et remplacer le nouveau comme bizut ... »


[…]



« Oh, me décrire ? Très bien. Ce qui me caractérise le mieux, c’est la liberté, je dirais. J’aime faire ce qui me plaît, passer ma vie sur les mers, explorer, sentir la brise marine … Même la plus féroce des tempêtes m’exalte. Après tout, que serait une relation amoureuse sans son calme et ses heurts parfois ? Je vous l’assure, il n’y a rien de mieux que de naviguer, si vous voulez vous sentir libéré de toute contrainte. Les seules lois qui s’appliquent sont celles dictées par l’océan. Respectez-le, aimez-le, et il n’y a aucune raison pour qu’il décide de vous emporter dans ses abysses. Sur mon navire, on navigue avec cet état d’esprit en tête. Je veille personnellement à la discipline de mes hommes. Ils savent filer droit, ça, je peux vous l’assurer, hahaha ! Mis à part ça, je dirais que l’autre chose qui motive ma vie, c’est l’excitation de l’incertitude. Le hasard est une force bien mystérieuse, et si puissante … Se faire happer par son tourbillon inarrêtable, c’est quelque chose. Chaque expérience est unique, et le fait que ce soit imprédictible rend le tout fascinant. Vous devriez essayer. D’ailleurs, ça vous dit une petite partie de cartes ? Non ? Heh, tant pis pour vous, dans ce cas ! »


Vous l’aurez compris, le capitaine du Freedom Call, à l’image du nom de son navire, est une femme qui vit l’instant présent à son propre rythme, que l’on pourrait qualifier d’effréné. A la barre, c’est une personne calme, dotée d’un sang-froid à toute épreuve, une autorité naturelle mais bienveillante, un désir de voguer et de conquérir l’océan, le tout dans un respect religieux de ce dernier. Féroce, elle sait ce qu’elle veut, et s’obstinera jusqu’à l’obtenir. A terre, le capitaine semble s’ouvrir davantage, laissant apercevoir d’autres facettes de sa personnalité. Une joueuse séductrice et tentatrice, bonne vivante et abordable, mais ne portez rien de trop élégant, et faites bien attention à votre bourse, vous pourriez regretter amèrement cette dernière partie de cartes, et rentrer chez vous dans votre plus simple appareil. Gare au rhume !

HISTOIRE
Dolcyan, ville portuaire de la région de Tanolda. La longue traversée depuis les plaines de Bellaphone était enfin terminée pour notre homme, un écrivain atteignant bientôt la trentaine, originaire du petit village d’Auvent, en quêtes de légendes vivantes. Il se sent libéré, délivré, et aussi plus léger, son goûter s’étant répandu sur un bout du pont du navire sous forme d’une tâche malodorante et écœurante. C’est ça, de ne pas avoir le pied marin. Il regrette un peu d’être parti sur un coup de tête et d’avoir écouté sa soif d’aventures et de rencontres avec des personnes extraordinaires, pour briser la monotonie de sa petite colline. Aussi car il avait brisé involontairement le vase de sa chère et tendre mère, dont l’amabilité frôlait celle d’un ciiconide dont on aurait volé les œufs. Mais ça, ce n’était qu’un détail. On lui avait dit qu’un grand navigateur se trouvait – probablement – à Dolcyan. Il voulait retracer la vie de ces illustres personnes dont il a tant rêvé, fantasmant probablement une vie d’aventures en complète opposition à la triste banalité de sa propre existence. Le problème, c’est que lorsque l’on n’a jamais quitté son petit village perdu dans la colline, le sens de l’orientation, c’est un peu compliqué, surtout dans un tout nouveau lieu. Et puis, personne n’avait jugé bon de lui dire qu’en ce moment, la personne qu’il cherchait sillonnait les mers, et était censée rentrer « bientôt ». Six jours d’errance dans le port, à chercher des informations et à mener sa petite enquête, avant de se rendre compte qu’il lui aurait simplement suffi d’attendre gentiment à la taverne du port, où il logeait, pour rencontrer ce fameux capitaine. Dans sa grande excitation, s’imaginant à quoi il pouvait bien ressembler, il ne fit pas vraiment attention à la grande femme brune, s’affalant près du comptoir et commandant trois chopes de bière. Le jeune homme restait planté là, raide comme un piquet, se tortillant sur ses jambes, essayant de deviner l’identité de sa cible. Un homme imposant finit par rentrer, quelques minutes après, et alla s’installer près de la femme. Fébrile, il s’avança, manquant de tomber dans les pommes d’excitation et d’appréhension.


« A-ahem, e-excusez-moi, monsieur, v-vous êtes bien le capitaine du Freedom Call ? »


Un regard perçant, sourcil levé, l’air grave et autoritaire. Notre jeune écrivain sentit la peur le paralyser. Sa vessie décida de se manifester et d’ouvrir les vannes, mouillant un peu son pantalon. Puis, le gaillard se retourna vers la femme avant d’hurler de rire.


« -Fiston, moi le cap’tain ? Bouahahahahahahah ! Et qu’est-ce que tu lui veux, à ce bon VIEUX capitaine, hein ?
- P-p-p-p-pardon, pitié, ne me tuez-pas, j’ai pas d’argent ! J-j-je suis un jeune écrivain e-et je fais l’autobiographie de grandes célébrités de ce monde … »


Le jeune pleutre n’avait pas vu le regard enflammé de la femme. Toute son attention était tournée vers l’homme.


« Désolé de te décevoir mon gars, mais c’est pas moi qu’tu cherches. Cette gente dame en revanche  va se faire un pl… »


Il se tordit de douleur, et s’affala au sol en se tenant les côtes, dévoilant aux yeux chastes de l’écrivain le visage furieux de la femme. Fort heureusement, la vessie de l’écrivain était déjà vide, il n’aura pas à subir une deuxième humiliation en public.


« -Pour ta gouverne, le capitaine Zane, c’est MOI. Et je ne suis PAS vieille. Sommes-nous clairs, gamin ?
- COMME DE L’EAU DE ROCHE MADA…
- PAS DE MADAME ! »


Et une grosse claque bien grasse et retentissante vint achever le pauvre, pauvre campagnard. La vie est dure, en dehors des collines. Tout frêle, le choc lui fit perdre connaissance. Ce n’est que quelques heures plus tard qu’il rouvrit les yeux, dans un hamac, vraisemblablement sur un bateau. Les légers mouvements lui donnèrent déjà la nausée.


« Ca y est, t’es réveillé ? Bon, je m’excuse pour la gifle. Mais bon sang t’as décollé sur un bon mètre, t’es fait en sucre ou quoi ? »


La capitaine Zane était présente à ses côtés. Elle soupira.


« - Reprenons depuis le début. Il paraît que tu me cherches depuis une semaine pour une sorte d’histoire, c’est ça ?
- Ah, euh … Oui … En fait, je suis écrivain, et j’ai pour projet de faire des autobiographies de personnes célèbres. P-peut-on poser le pied à terre s’il vous plaît ?
- Huh. t’es vraiment fait en sucre alors. Si ça te fait plaisir. Bon, qu’est-ce qu’il te faut, du coup ?
- Eh bien, que diriez-vous de vous décrire, pour commencer ? »


[…]



« Merci beaucoup. Est-ce que vous pourriez me parler de votre vécu, à présent ? Dans les grandes lignes dans un premier temps, que je mesure un peu et prenne des notes. »


Le capitaine fit les yeux ronds.


« Euh, d’accord. Je suis née il y a … un certain temps. On ne demande pas son âge à une femme, règle d’or. Mon père est … bon, disons simplement qu’il n’a pas de réel travail et qu’il attire la malchance sur les pauvres marchands et autres nobles qu’il croisait. Si tu vois ce que je veux dire. Il est originaire d’ici, de Dolcyan je veux dire. Ma mère, elle, est une apothicaire de itinérante venue de Valdéroc. Enfin, était, maintenant elle s’est installée définitivement à Dolcyan. Ils se sont rencontrés alors que mon crétin de père voulait la voler … Il a failli finir émasculé. Il s’est mangé un couteau empoisonné dans la jambe, à genre quoi, trois centimètres de sa virilité ? Enfin bref. Elle lui a mis une sale dérouillée. Il a payé sa liberté avec un beau collier qu’il venait de … d’obtenir de façon totalement hasardeuse et tout à fait légale. Et il s’est juré de l’épouser tant elle l’avait impressionné. Aucune alarme de danger cet homme, j’vous jure … Enfin, de fil en aiguille, et après deux bonnes années à la courtiser, et surtout à la pourchasser dans le monde entier, ils ont fini par s’aimer. Ils se sont installés à Dolcyan, ma mère soutenant les entreprises de mon père avec quelques mixtures. Le problème, c’est que parfois quand on attire la malchance sur les mauvais nobles, les conséquences peuvent un peu déborder.


C’est arrivé pendant que ma mère était enceinte. Oh, et d’ailleurs, je suis fille unique. Bref, des types pas commode voulaient un peu casser la gueule de mon paternel. Du coup, ma mère, mille fois plus intelligente que lui visiblement, lui proposa de fuir par la mer, en direction de Valdéroc, pour s’y cacher chez ses parents. Le plan, c’était de rester là-bas, le temps que je vienne au monde, puis repartir. Et fort heureusement, ça s’est déroulé sans accrocs. Enfin ça, c’est ce qu’ils se sont dit sur le moment. Du coup, le plus beau bébé du monde est arrivé, mais je n’ai pas eu le temps d’apprécier Valdéroc. De retour à Dolcyan, mes parents avaient déménagé, au cas où. Et disons que mon paternel a décidé de raccrocher un peu son business pour s’occuper de moi et épauler ma mère. J’ai pas spécialement de souvenirs de cette époque, puisque j’étais trop jeune. Mes premiers véritables souvenirs remontent à mes trois ans, à peu près. Je crois que mon plus lointain, ça doit être les pâtisseries de Mamie. Enfin, à cet âge-là, mon père m’emmenait beaucoup pêcher. J’ai toujours trouvé l’eau fascinante. Elle peut être si calme, puis plus tard si agitée. Elle peut être claire, puis obscure. Et elle attire les petits enfants, aussi. C’est comme ça que j’ai appris à nager, d’ailleurs. Mon père remontait une prise, et moi qui voulait regarder, j’ai trébuché. Mais plutôt que pleurer, ça m’avait beaucoup fait rire. Depuis, je n’arrêtais pas d’embêter mes parents pour aller me baigner.


Ca, c’était pour les années tranquilles. Tu te souviens que je t’ai dit que le plan initial de fuite avait eu l’air de se dérouler sans accrocs ? Eh bien en vérité, il y en avait bel et bien un, et un gros. Ca ne t’a sans doute pas échappé, mais je suis née à Valdéroc, du coup. Et tu sais ce qu’il y a, à Valdéroc, comme tu as l’air d’apprécier l’Histoire. Je me suis éveillée à une raisonnance. Ca a créé un véritable bordel chez moi, et de grands débats animés. Finalement il a été convenu de m’envoyer à la Citadelle, non seulement à cause des rumeurs sur le raccourcissement de l’espérance de vie si l’on ne maîtrise pas ce don, mais aussi parce que … hum … ma raisonnance était assez inconvenante, va-t-on dire. Bon nombre de fois les voisins crurent que mon père battait ma mère, mais la réalité était complètement à l’opposé, si tu vois ce que je veux dire. De toute façon, j’vais pas te faire un dessin. Quoi, pourquoi tu me regardes comme ça ? D’aaacord, j’ai compris. En gros ma raisonnance avait un puissant effet d’aphrodisiaque. Bref, passons. Ma mère était très réticente, parce qu’elle savait très bien ce qui m’attendait à la Citadelle. Ma mamie y était allée, elle aussi. Elle se doutait donc de quels genre d’exercices j’allais devoir subir. Et accroche-toi mon petit, parce que c’est là que l’enfer a commencé.


J’ai toujours été habituée à l’ambiance portuaire de Dolcyan. Les navires, les marins, les marchés, l’animation, la brise, l’odeur saline … Eh bien la Citadelle, c’est simple. Remplace tout ça par du gris. Du gris de partout. Des gens qui tirent la tronche en permanence. Un calme à te damner. Et surtout, une montagne de travail, sans compter qu’en plus, on te prend littéralement pour la pire espèce existante. Et quand t’es une gamine de tout juste quatre ans qui arrive là-bas, toute seule, je peux te dire que j’avais peur. J’ai toujours voulu rentrer. J’étais loin d’être la plus calme, bien au contraire. Ca m’a valu des milliers de punitions. Crois-moi, tu n’as clairement pas envie de savoir, pour certaines. Pour d’autres, c’était du classique. Bon nombre de fois j’ai cru mourir, je ne vais pas mentir. J’ai appris à endurer, à faire preuve d’un sang-froid sans faille. Quelque chose d’ailleurs m’aidait à tenir bon. C’était ma lumière, mon rayon d’espoir, peut-on dire. Quelque chose de tout simple. L’océan. Il m’appelait. Je voulais revoir l’écume se former sur les plages, retourner pêcher avec mon père, courir sur les pontons, nager … Cet appel devenait de plus en plus fort avec les années passées dans cette foutue prison. A un point tel que j’en rêvais éveillée pendant les cours. Ca a été dur de supporter les châtiments suite à ça. Mais j’imagine que je ne m’en suis pas trop mal sortie, étant toujours vivante. Une chose est sûre, c’est depuis cette époque que je me suis jurée de n’obéir plus qu’à moi-même. Pouvoir être libre est un privilège qui n’est pas accordé à tout le monde. La contrainte n’a fait que renforcer mon esprit rebelle. Heureusement que mes parents n’étaient pas là pour me supporter, au moins.


Bref, quoi qu’il en soit, je vais t’épargner quelques détails, puisque pratiquement toutes mes années passées là-bas se ressemblent comme deux gouttes d’eau. J’ai pu sortir au bout de dix-huit ans d’emprisonnement. D’habitude, les gens sont libérés au bout d’une vingtaine d’années, mais je suppose qu’ils étaient satisfaits de mon contrôle sur ma raisonnance. Et qu’ils devaient en avoir sacrément plein le cul de me voir, aussi, mais ça, c’est qu’un soupçon. Du coup, une fois rentrée, j’en ai profité pour me décomplexer entièrement. Enfin, je n’avais plus personne pour me dire quoi faire, quoi apprendre, pour me tabasser si je répondais quelque chose qui ne plaisait pas. J’ai pu goûter à beaucoup de choses, divers plaisirs, et m’essayer à diverses activités. Et surtout, mon père m’a appris à naviguer. Quelques cours ont été dispensé sur certains sujets utiles à la navigation, comme l’astronomie par exemple, la physique, les mathématiques … Aussi, j’appris vite à manœuvrer de modestes embarcations, avec quelques voiles. Il m’apprit également à manier l’épée, et surtout, les armes à feu. Ca, c’était un truc qui me branchait. Je me débrouille bien mieux avec un pistolet qu’avec une lame, ceci dit, n’en traduise mes affinités et mon feeling. En parallèle, je m’adonnais aux paris, une chose vraiment formidable. On peut à la fois se refaire le porte-monnaie, mais aussi la garde-robe, si c’est pas beau ! Enfin, quand la chance te sourit. Mais j’ai tout de même réussi à remporter suffisamment d’argent, un peu aidée par mes parents, pour m’acheter mon propre navire. Ils n’étaient pas stupides, ils savaient bien que l’océan m’appelait. Ils l’avaient compris, depuis mon retour. Bon, je n’ai pas été non plus la plus subtile, en leur répétant que je voulais voguer sur les mers, découvrir et explorer des terres vierges et inconnues. Je soupçonne d’ailleurs très fortement mon père d’avoir repris les affaires, pour me donner le coup de pouce nécessaire à l’achat d’un véritable navire. Ma propre caravelle ! Le plus beau jour de ma vie, vraiment. Je l’ai baptisée Freedom Call, en honneur à mes désirs. Au départ, cela m’a un peu servi à impressionner de belles dames, en plus de pouvoir voguer à ma convenance. C’est d’ailleurs comme cela que j’ai rencontré ma seconde d’équipage … Un beau souvenir. Mais toujours pas de dessin hein, c’est compris ?


J’ai donc recruté des marins, leur promettant des expéditions contre vents et marées, à la découverte de trésors et d’aventures. Seuls les plus fous m’ont rejoint, et c’est ça que j’aime chez mes hommes et femmes. Nous sommes un peu une nouvelle famille. Et … eh, tu m’écoutes ? »



Des larmes roulaient des yeux de l’écrivain.


« Absolument, veuillez m’excusez. C’est juste que … C’est si émouvant ! »


Aussi, c’est parce que son poignet le faisait atrocement souffrir de toute cette prise de notes intensive. Mais ça, il le gardait bien pour lui. Il avait trop peur de s’envoler à nouveau suite à une bonne grosse baffe.


« - Mouais. Je reprends, donc. Je disais que mon équipage et moi somm…
- Capitaine, on a b’soin d’vous ! Y’a une jeune demoiselle qui vous cherche, ‘paraît qu’elle veut aller à Asellus.
- Je vois. Et à quoi ressemble cette jeune femme ?
- Euh … Jeune et jolie ? Enfin, j’dirais qu’elle est à vot’ goût.
- Parfait. Eh bien mon cher écrivain, je m’excuse mais le devoir m’appelle. Nous pourrons reprendre à une date ultérieure, j’ai cru comprendre que vous souhaitiez revenir pour avoir davantage de détails ?
- Ah, euh … Oui, oui, très bien, faisons cela. Je vous enverrai une lettre pour un nouveau rendez-vous, dans ce cas.
- Impeccable dans ce cas ! Maintenant, si vous voulez bien m’excusez, j’ai des … affaires à régler. »


Et c’est ainsi que notre jeune campagnard rencontra la première célébrité de sa, il l’espère, longue liste. Il se dit que c’était déjà une sacrée aventure en soi, et qu’il a beaucoup appris de cette femme qui n’attend pas que le temps passe. Un sourire sur les lèvres, il la regarda partir. Il lui restait encore un peu de temps avant de se remettre en route, il aurait bien le temps d’interroger l’équipage de cette tornade afin d’en savoir un peu plus ...



Pseudo | Amaryllis ira bien:D
Feat | Beatrix – Final Fantasy IX


Compétences |Queen of the seas ~ Amaryllis X5l3Queen of the seas ~ Amaryllis X6vtQueen of the seas ~ Amaryllis W7j5Queen of the seas ~ Amaryllis N618Queen of the seas ~ Amaryllis 6vsf Queen of the seas ~ Amaryllis 68apQueen of the seas ~ Amaryllis U938Queen of the seas ~ Amaryllis M68sQueen of the seas ~ Amaryllis ThobQueen of the seas ~ Amaryllis 2y21

Un forum très complet et vraiment agréable à l’œil et à parcourir, on sent qu’il y a eu beaucoup d’attention porté dessus, bravo à vous ♥
Invité
Anonymous
Invité


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12.05.20 12:37
Re: Queen of the seas ~ Amaryllis


Validation


Amaryllis, elle est vraiment trop cool ! J'aime beaucoup ce personnage et j'ai hâte de naviguer avec elle ! En plus, le prénom "Amaryllis", je l'utilisais pour un de mes anciens persos donc je plussois la faboulussité de ce prénom  Queen of the seas ~ Amaryllis 3215974630

J'espère que tu pourras nous faire découvrir plein de merveilles dans tes escapades marines !

Compétences
Queen of the seas ~ Amaryllis W7j5Queen of the seas ~ Amaryllis 68apQueen of the seas ~ Amaryllis ThobQueen of the seas ~ Amaryllis 2y21Queen of the seas ~ Amaryllis X6vtQueen of the seas ~ Amaryllis U938Queen of the seas ~ Amaryllis M68s


Je t'ai retiré certaines compétences mais je t'ai mise les plus importantes.

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